Mon kurétaké cerne les contours de cet archipel imaginaire où les encres fusent et se diffusent. Voyageur immobile assistant à la métamorphose de la feuille blanche en espace immense, quelques instants pour que l'eau s'évapore, le temps d'écouter la douce caresse du pinceau, tel un murmure au creux de l'oreille de celui ou celle qui saura l'attraper...
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que va t'on faire de toi
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On a parlé du temps;
ça rassure toujours de causer de ce qu'on ne comprend pas.
On peut laisser le courant filer
dans les vagues hésitations, les silenc...
Il y a 2 jours
1 commentaires:
:-)
On dirait un buste de femme avec la tête penchée en avant !
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