Des terrasses pleines, des gens en tee-shirt, des bateaux mouches emplis de touristes, des RayBan sur des nez, des vélib' en veux-tu en voilà, le soleil qui frappe les peaux blanches... Le printemps arrive. Les quais de Seine, à deux pas du Lycée Charlemagne, noircis de silhouettes imitant le lézard... A mon avis, la fin de la crise est proche, avec une sortie aussi idiote que l'entrée. Il suffit de changer de saison. Allons-nous faire mentir la totalité des économistes qui, il faut le rappeler, s'ils portent encore des costards et des cravates à 50 ans et font des prospectives aussi fumeuses que cette même crise n'a pas pu être anticipée, et bien, c'est "qu'ils ont raté leur vie". Tachons de pas passer à côté en tout cas. |
en résumé
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Les gants de l'amer à mur
*"Tout peut s'oublier*
* qui s'enfuit déjà" *
Faire des pieds et des mains
*"T'as des bottes, mon poteElles me botte...
Il y a 1 jour
2 commentaires:
belle photo, J'aime bien la perspective... et c'est l'été déjà!!
Moi, je crois aussi que le printemps peut tout changer...
Sauf que les théoriciens fumeux qui resteront là malgré tout...
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