28 février 2008

• Laboragargouilles & autres farfadets


Des images plein la tête, et l'envie de les superposer, pour voir ce que cette meexitée renvoie...
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27 février 2008

• Or, ange est bleu


Pour le plaisir de fondre des images, des pensées, des couleurs entre elles. Pour le plaisir gratuit de jouer avec les typos, les pleins et déliés, le plaisir de suivre ces courbes dans cette chaleur orangée, dans cette nuit, ces vapeurs. Plaisir de voir cet album chrono (phage)-(il) logique se remplir comme on remplit des pensées sans fins...
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26 février 2008

• Mon ange-gardien


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25 février 2008

• Preljocaj à Cologne


Fan de danse contemporaine - et pour une fois que je suis devant le poste (sur Arte), les ballets Preljocaj suivis par les caméras de Olivier Assayas lors de leur déplacement en 2005, de Aix en Provence à Cologne (ville que j'ai visité il y a très longtemps). On découvre la rencontre de Preljocaj et de Karlheinz Stockhausen, en vue du spectacle "eldorado", joué en 2007 au Théâtre de la Ville.

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22 février 2008

• Un peu d'illustration



Une petite illustration, réalisée ces jours-ci, pour un projet de guide. Crayons aquarellables et pastels sur Canson à grain.

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Une toile exposée en permanence au restaurant La Gazette, une des meilleures tables du coin...

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• New Tone



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21 février 2008

• Visites d'atelier [ø17]


Acrylique, fusain et pastel sur toile de lin. Pas de titre pour cette toile exécutée en 2005, dans le cadre de l'expo "Nonchalance et mouvements d'ailes". J'ai cette toile sous les yeux depuis quelques jours, ayant déserté l'Atelier - trop froid - au bénéfice d'un autre lieu, orientée plein sud... Une belle lumière pour réaliser les dessins et pastels commandés en ce moment, dans un esprit nomade...

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20 février 2008

• Un peu de graphisme

Création de l'identité visuelle du chausseur Marco. Deux chaussures stylisées pour la collection Printemps-Eté. Un trait "A la Plume", très calligraphique, et des images incrustées qui proviennent de ma ptite imagebank perso, des fleurs clichées au Maroc... A voir prochainement chez tous les distributeurs de France et de Navarre.

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• Escapade à Paris...

J'adore Paris, les quais de Seine, les gargouilles du Sacré Cœur, les rosaces de Notre-Dame, l'Ile St Louis, les toits de la Capitale... La chance de pouvoir m'y rendre souvent, une ville photogénique, agitée ou calme, joyeuse ou mélancolique. L'escapade d'hier fût brève, trop brève... Prochaine escapade, les petits passages [secrets], bien cachés du vieux Paris...

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19 février 2008


• Mél et le Pay It Forward, suite

Merci Mélanie. Merci pour toutes ces friandises espagnoles, que j'ai reçu aujourd'hui, je ne regrette pas mon inscription à la chaîne Pay-It-Forward (pour répondre à ton billet, non, je connais rien, à part les chuppas, mais c'est une autre histoire...), et en plus, je ne m'y attendais pas, un peu en retard dans la lecture des "Mél"...
Il reste encore deux places, alors celui ou celle qui veut recevoir un cadeau de ma part doit jouer le jeu, en envoyant un commentaire sur le post déposé il y a quelques jours [Cliquer ici...pour envoyer un commentaire...].
(Le blog de Mél > A voir là... Que todo te lo posa bien !)

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12 février 2008


9 février 2008

• Comment dit-on déjà ?


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8 février 2008

• Une bombe a.na.to.mi.que


Après le rock anglais du début de la semaine, la variété française avec Christophe Willem sur scène à Evreux hier soir... (Ça fait donc deux concerts cette même semaine). Quel pitre ce christophe, qui a su tantôt nous faire rire avec son style inimitable, et tantôt nous faire bouger avec ses rythmes transformant le Cadran en boite de nuit ! (avec la boule à facettes et tout). Une soirée très dance, des musicos vraiment hors pair et des choristes très pointues. Très belle prestation, pour un artiste à la voix [incroyable] de cristal...

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• Bibliothèque nationale de France

Balade à Paris, appareil photo en main, dans les petits quartiers calmes et désuets de la Capitale...Des vignes de la Butte, des néons éteints de Pigalle, des rues pavées et désertes de la Place des Vosges... Des photos oui, mais à venir sur un (autre) blog.Parti sans laisser d'adresse. Evidemment.
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5 février 2008

• Babyshambles !


Les Babyshambles avec les nanas [Ali, Marhin, Amély et Elé] au Zénith de Paris, une bonne bouffée de rock anglais, très bien foutu, avec un tonus contagieux

Bon, juste après la première partie [les Dodos, sonores, mais pas très justes], les pogos ont éclaté notre petit groupe. On a quand même pu asister aux scènes dérivées : un mec a pris feu [ce djeune, là, qui devrait pas fumer, avec des tiffes longues, on se planque des vigiles pour allumer sa clope, et ....la tignasse en même temps], d'autres qui ont osé monter sur scène se sont fait jeter dans la foule comme dans un tas d'ordures par les musclors, d'autres encore ont gardé l'empreinte de chaussures sur la joue pendant qu'ils se faisaient piétiner...

Une première demi-heure de mise en jambe, et après, c'est plus difficile pour les photos et vidéo, la salle sautant sur place [bon la fosse au Zénith est assez grande mais quand même] on ne distingue plus que les centaines d'écrans de portables à bout de bras braqués vers Peeeete, en super forme.

Concert très réussi, Pete inspiré, détendu, assez à l'aise avec la foule, assez détaché, jusqu'au final habituel ou tout se qui traine sur scene valdingue dans la fosse [cigarettes, bouteilles, micro...et j'en passe]

Pour reprendre ses esprits, un petit tour après le concert, dans Paris illuminé, pour les donzelles encore sous le charme de Peeeeeete.
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3 février 2008

• La Poste et le recyclage

Retrouvée au fond du grenier, une toile réalisée sur du sac de jute de La Poste. Il s'agit bien sûr de récup' et de détournement. Cette (série de) toile(s), réalisée il y a un peu plus de 10 ans, était exclusivement peinte sur des vieux sacs craqués de La Poste, récupérés en douce, par un complice qui s'en servait beaucoup. Une surface interessante pour l'acrylique (et l'aérographe, mon outil de prédilection de l'époque), bien rugueuse, qui se tendait sur des chassis maison avec peu de difficulté. Pas de titre pour cette toile, mais elle aurait pu s'appeler "Angel".[+1::280]

2 février 2008

• Dans Psycho ce mois-ci

Dans Psycho ce mois-ci (le thème, la bétise, numéro qui aurait du faire 900 pages initialement), un petit sujet sur les valeurs au travail, avez-vous quitté un job où les valeurs de la boîte ne correspondaient pas aux vôtres (en extrapolant, pas envie non plus...)...
Hormis le fait que j'ai toujours eu du mal avec la hiérachie, parmi les innombrables petits boulots qui m'ont servi dans ma période 20/30 ans, à me payer des brosses, des toiles et de la peinture pour aller exposer, certains jobs sont assez cocasses (mes raisons de fuir aussi)...
Nettoyeur à l'acide en usine automobile (aucune sécurité à l'époque, les bains d'acide dégraissaient des pièces mécaniques). Je suis parti au bout de quinze jours, quand j'ai pris conscience que les gens qui travaillaient autour de moi étaient rongés à l'extérieur, et les neurones furieusement esquintés à l'intérieur...
Job dans une agence matrimoniale. je suis parti après avoir vu le cynisme des dirigeants, s'occupant soi-disant du bien-être affectif de leurs clients...Les plus riches avaient peu de chance de trouver l'âme soeur, curieusement...Les bons clients, on les garde...
Magasinier en grande surface, où l'on remplit des rayons de victuailles - les produits presque périmés bien devant, à porter de main, les produits frais tout au fond, derrière. Des tonnes de bouffe qui partent au broyeur chaque jour (pas seulement ça, des jouets neufs invendus au broyeur, des objets de toute sorte, des choses cassées, mais vraiment "à peine", bref, tout au broyeur). je suis parti le sentiment du travail mal fait, grande injustice, avec des tas de malheureux dehors qui de temps en temps, essayaient de récupérer à manger, et ce broyeur qui faisait une concurrence déloyale...
Relieur industriel, là, c'est l'odeur de la colle qui rend tout le monde stoned. Dans cette boite qui reliaient des catalogues genre la redoute, une ambiance de réglement de compte à OK Coral, une vulgarité à toute épreuve, des femmes qui sifflaient les mecs, les vestiaires dévastés, et moi, le ptit jeune tout frèle qui débarque, un bouquin de poésie ou de vulgarisation de la mécanique quantique dans la poche révolver pour la pause, et qui assiste à une sorte de désastre humain, en direct, dans un lieu où la survit est de mise. Je suis parti au bout d'une demi-journée, complétement stoned, évidemment.
Banquier. Où, avec mon [little] diplome en poche, je pouvais m'amuser à faire jongler mes neurones sur les tests d'embauche d'une grande banque, à Paris, mais où j'étais venu sans cravate (cf Higelin, deux trois attablés et des pendus sans cravate). Evidemment, quand on m'a dit que, selon mes résultats, j'arrivais tout en haut du classement - en clair, qu'ils me prenaient - , ils m'ont précisé que le "banquier travaillait en cravate, donc M. Hermier, vous porterez une cravate", j'ai préféré décliner l'invitation de travailler dans ce monde noué, où quand même, il faut le savoir, les traders, eux, peuvent "trader" en tongs et chemises à fleur. Quelle hypocrisie.
Moniteur auto-école. Mes vraies motivations n'étant pas d'apprendre à conduire aux piétons, mais plutôt de draguer des jeunettes de 20 ans, j'ai déchiré ma feuille d'inscription. C'était plus prudent. Si je donne le permis qu'à celles qui ont été sages, la courbe d'accidents aurait pu monter en flêche dans mon département, et ça, ça, je ne veux pas.
Magasinier chez un marchand de meubles. Si vous connaissez Gaston Lagaffe, le Directeur des ressources humaines a mis la main dessus en m'embauchant. J'ai dû démolir en moins d'une heure 3 armoires à glace, en déplaçant les cartons (super lourds) et bien sûr, en faisant tout tomber dans la réserve. Sous la poussière, des miroirs brisés et une carrière tout autant.
Buriste. Bon, travailler dans un buro, mériterait plusieurs posts tellement l'univers bur'lesque est indescriptible. C'était à l'époque où j'ai essayé le fonctionnariat. Coluche était en dessous de la vérité, car la vérité dépasse toujours la fiction. Je vous en parlerai plus tard. En tout cas, je suis parti pour exercer mon activité de faiseur d'images.... :-).
Epilogue - Faiseur d'images. C'est le métier que j'exerce aujourd'hui, à mon compte, depuis plus de 17 ans. C'est celui qui me convient le mieux, celui pour lequel j'ai été formé, celui dans lequel je me sens bien, où je suis à ma place, sans regretter d'avoir passé du temps ailleurs car cet ailleurs permet au caractère de se forger, l'humour s'affiner, et les expériences s'enrichir...
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• Pay it Forward

Je vous présente un petit jeu auquel je participe grâce à un petit commentaire laissé chez LesFillesDe1975

Les règles du "Pay it forward" sont très simples :

1- N'importe qui possédant un blog peut participer.
2- Les trois premières personnes à laisser un commentaire sur ce billet recevront un cadeau mijoté par moi-même.
3- Je vous enverrai votre cadeau dans les 365 prochains jours.
4- En échange, vous devrez "payer à l'avance" (pay it forward) en faisant la même promesse sur votre blog (Je n'envoie pas le cadeau tant que vous n'aurez pas posté à propos du PIF!).

Qui seront donc les trois premières personnes à venir poster chez moi et recevoir un cadeau ?


Note perso : il est très amusant de remonter de lien en lien, et de découvrir des blogs très divers. Je trouve que ça ressemble un peu aux chaines de courrier, qu'il ne fallait pas rompre sous peine de recevoir un astéroide sur la tête, ou d'être malchanceux au jeu sur 12 générations, chaines qui, d'ailleurs, ont disparu, le monde doit aller mieux alors...
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1 février 2008


Envie de marcher dans le sable...[+1::277]

• Eternal Sunshine

Eternal Sunshine of the spotless mind, ou comment effacer ses souvenirs, puis, si ce travail commence, souhaiter en fait conserver ses souvenirs... Tout le paradoxe est là.

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